VALEUR DE LA VIE HUMAINEBien que les S.T.A.L.K.E.Rs ont tendance à ne pas se concerter entre eux au-delà de leur sphère d'intérêt immédiate et se font peu confiance entre eux, il est coutumier d’éviter de verser du sang inutilement. Personne n’hésiterait à abattre un mutant mais dans ce monde hostile, il n’y a qu’avec ses semblables que l’on peut espérer un peu de répit.
C’est pourquoi on laisse à un inconnu le choix du doute.
Même en cas de rancune tenace, il est rare de traquer un ennemi de nature humaine à travers toute la Zone car celle-ci est tellement dangereuse qu’elle aura tôt fait de se charger de votre cible. Malgré cela, mettre des têtes à prix est courant, car certains ne préfèrent pas laisser cela au hasard…
TRAITEMENT DES MARCHANDSIl est strictement interdit de nuire à la vie d’un marchand. C’est grâce à eux que l’on peut survivre au sein de la Zone, ajoutez à cela leur réputation et influence, s’attaquer à eux revient au suicide. A cela près que votre mort sera beaucoup plus longue et douloureuse car les marchands font de beaux exemples des fous qui osent de telles choses…
LA MORTSurvivre dans la Zone est une lutte solitaire et dissimulée au reste du monde : quand un militaire est tué sur le champ de bataille, les politiques viennent faire des discours. Quand un S.T.A.L.K.E.R meurt dans la Zone, personne n'en parle. Qui enterrera votre cadavre ? Qui préviendra votre famille ? Probablement personne. Les S.T.A.L.K.E.Rs apprennent à vivre avec cette hantise.
SALUT ET PRISE DE CONTACTSaluez autrui tout en gardant vos distances. Ranger votre arme si vous désirez discuter est un simple acte de bonne foi. Vous pouvez également lever vos mains en l’air, accentuant votre vulnérabilité et vos intentions pacifiques.
S O S
Il est fréquent que des S.T.A.L.K.E.Rs signalent leur détresse via radio. Les plus grands camps ont généralement des personnes dont le rôle est dédicacé au balayage des ondes. Prenez garde, les bandits et l’armée font également très attention aux signaux et sont rapides à intervenir (pour le plus grand malheur de la victime).